Le mois dernier, Sébastien Boisseau, artiste associé du Petit Faucheux, était venu présenter son concept « un salon, deux gestes » aux participants des après-midi libres au centre socioculturel.
Séduits par ce concept original où les artistes deviennent les hôtes du public, ils ont travaillé pour rendre le salon le plus accueillant possible et faire d’une immense salle des fêtes un coin intimiste ; un véritable défi qu’ils ont pourtant relevé haut la main. En entrant vendredi soir, on ne reconnaissait pas la salle, l’ambiance était au cocooning avec canapés, fauteuils, tapis, tables basses, lumières tamisées.
Une ambiance qui a été appréciée par Sébastien Boisseau et Léa Scher, danseuse de la Compagnie du centre chorégraphique national de Tours.
Une fois la vingtaine de personnes inscrites à cette soirée bien installées, Sébastien Boisseau, à la contrebasse, et Léa Scher se sont produits devant eux pendant un bon quart d’heure avant de lancer les échanges avec le public.
Immédiatement, la question de savoir s’il s’agissait d’une improvisation est arrivée. Si certains en étaient persuadés, d’autres en doutaient face à l’osmose perçue entre les deux artistes et la réponse a pu en surprendre plus d’un.
En effet, Sébastien Boisseau et Léa Scher ne se connaissaient que depuis l’après-midi même. Il s’agissait donc bien d’une totale improvisation de leur part : « Nous sommes tous deux habitués à cette forme de langage tout comme vous qui pouvez dialoguer pendant des heures avec quelqu’un grâce au langage verbal. »
Une soirée étonnante dans une ambiance rare et pleine de sérénité où chacun ose prendre la parole, des plus jeunes âgés d’une dizaine d’années jusqu’aux seniors.
Une ambiance qui a été appréciée par Sébastien Boisseau et Léa Scher, danseuse de la Compagnie du centre chorégraphique national de Tours.
Une fois la vingtaine de personnes inscrites à cette soirée bien installées, Sébastien Boisseau, à la contrebasse, et Léa Scher se sont produits devant eux pendant un bon quart d’heure avant de lancer les échanges avec le public.
Immédiatement, la question de savoir s’il s’agissait d’une improvisation est arrivée. Si certains en étaient persuadés, d’autres en doutaient face à l’osmose perçue entre les deux artistes et la réponse a pu en surprendre plus d’un.
En effet, Sébastien Boisseau et Léa Scher ne se connaissaient que depuis l’après-midi même. Il s’agissait donc bien d’une totale improvisation de leur part : « Nous sommes tous deux habitués à cette forme de langage tout comme vous qui pouvez dialoguer pendant des heures avec quelqu’un grâce au langage verbal. »
Une soirée étonnante dans une ambiance rare et pleine de sérénité où chacun ose prendre la parole, des plus jeunes âgés d’une dizaine d’années jusqu’aux seniors.